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Chers contributeurs, chères contributrices,
Peut-être qu’une question vous titille, peut-être même vous dérange, «à quoi sert cet argent ?». 7’6445 frs ?! Mais c’est énorme, surtout pour du papier.
Que ferons-nous grâce à votre financement ? Je vous rassure, cela ne sert ni à financer nos études, ni nos «tournées estudiantines», et encore moins notre voyage aux îles Caïmans.
La (presque) totalité de notre budget est allouée à l’impression de la revue. Avec cela, nous ne finançons ni nos logiciels, ni l’événement de sortie, ni notre publicité. Cette somme permettra donc de payer l’impression de 400 exemplaires en offset, produit (amoureusement) par notre chère imprimerie locale «le CRIC».
400 exemplaires pour un premier numéro ? L’ambition est grande, mais votre soutien confirme que nous ne sommes pas seulement fous ou folles. De même, pour celles et ceux d’entre vous qui on fait de l’économie, autant d’exemplaires nous permet de faire des économies d’échelle, d’obtenir le coût de production le plus bas afin que le prix de vente suive cette baisse. Si cela paraît absurde, tout le monde y gagne à la fin.
De même, nos articles ne périment pas. Si le texte est vrai aujourd’hui, il le sera demain. Nous ne dépendons pas de l’actualité. Ainsi, cette revue sera à votre disposition pour vos cadeaux de Noël, des mariages printaniers, des anniversaires estivaux, ou des célébrations automnales. Notre plus grande crainte ? La faim des rongeurs. Mais ceux-ci ont déjà bien assez à faire avec toutes ces bibliothèques universitaires.
Enfin, l’impression offset est la meilleure option pour nos artistes. Petite avant première pour celles et ceux qui voudront visiter l’imprimerie (c’est dans nos contreparties). L’impression numérique, celle que nous avons toutes et tous grâce à nos chères imprimantes, ne fait que déposer l’encre sur la feuille de papier. De son côté, la technique d’impression offset inscrit l’encre au sein même du papier, octroyant un rendu beaucoup plus beau, plus sérieux, et plus fidèle à ce que les artistes envisageaient.
Je vous l’accorde, nous aurions pu délocaliser notre impression dans un autre pays. Mais comment prôner le développement du tissu local en déléguant à l’étranger ce qui pourrait être fait ici ? Comment défendre un point qu’on ne suit pas ? Comment exiger une transition qu’on décide de ne pas y contribuer, par simple facilité ? Comment se regarder dans le miroir après avoir vendu de fausses promesses. Nous ne sommes pas de ce monde-là, la réinvention d’un monde commence par nous-même.
Que des tergiversations, mais, de cette manière, vous avez une idée plus concrète de l’utilité de vos dons.
Rien n’est gagné, alors je ne peux que vous prier de nous soutenir, pour faire vivre la presse ! Pour faire revivre l’écologie ! Pour le partage de l’art ! Pour que la Science sorte de l’Université ! Pour un projet qui vous tient à cœur.
Encore merci,
Eric Roggwiller, Président d’Atlas Info
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À vous, cher.ère.s contributeur.rice.s
Deux jours sont à peine passés, et nous avons déjà passé l’étape des 10% de notre objectif !
Plus que reconnaissant.e.s, nous ne pouvant qu’être ému.e.s par autant de soutien de votre part. Que vous soyez les membres de nos familles respectives, ou des (pour l’instant) inconnu.e.s convaincu.e.s par notre revue, nous ne pouvons que vous remercier du fond de notre cœur. Dorénavant, nous logeons toutes et tous à la même enseigne, et ce projet qui était nôtre, devient quelque peu à vous. Nous ferons question de mentionner chaque contributeur.rice, au moins sur notre site Internet.
Rien n’est encore gagné, et nous nous battrons jusqu’au bout pour que notre objectif, quelque peu ambitieux, soit atteint. On ne peut être sûr de réaliser vos rêves, mais nous ferons tout pour accomplir vos espérances.
Encore merci, vos dons sont nos pas.
À tout bientôt, L’équipe d’Atlas