Mon premier album
Parlons un peu de moi.
Je m’appelle Seydoux Belazaina et mon nom de scène est Captaine Gass. « Captaine » parce que j’ai toujours été fasciné par l’infinité des mers, aux mondes sans horizons. Et, « Gass » fait référence aux habitants de mon île, Madagascar. C’est ainsi qu’on les appelle. Vivant aujourd’hui en Suisse depuis l’âge de 11 ans, je n’ai jamais oublié d’où je viens et cette influence se retrouve dans mes écrits, dans ma musique et sur scène.
Un album qui parle de la quête de soi.
Dans cet album, je me réjouis de vous faire découvrir 12 titres à travers deux années de création en studio. Par les différents thèmes que j’aborde, j’écris sur la quête de soi et de celle des autres. Je parle de ces « je t’aime » qu’on ne se dira plus, de ce père qui ne reviendra peut-être pas, de cet île qui m’a vu grandir et de ces rêves qui donnent un sens à tout.
Pour ce qui est des sonorités musicales, je me suis permis aucunes frontières. Je passe d’un titre dansant sur des rythmes africains et juste après, quelques notes de piano qui nous ramènent à nos étoiles manquées. Je ne choisis pas un genre de musique en particulier car pour moi, la musique sert à transmettre une émotion de la manière la plus vraie possible. Et cette émotion peut être joyeuse, triste, encourageante ou tout ça à la fois. Peu importe, tant qu’elle est vraie.
Et c’est ce mélange d’émotions et de sentiments que je trouve beau chez l’Être humain. On est capable de se relever quand on tombe, de sourire quand on meurt et de danser quand on pleure.
J’ai besoin de vous. Oui, mais pourquoi ?
J’ai besoin de vous parce que j’ai envie de vous offrir plus qu’un album posté sur internet. Cela fait près de 5 ans que je partage ce que je fais sur scène et sur mes réseaux sociaux.
Par votre soutien, j’aurais la possibilité de vous donner bien plus : un concert vernissage à la sortie de l’album, un pressage pour avoir des CD au format physique, une pochette d’album faite par des pros et évidemment, des clips vidéos pour défendre les meilleurs titres.
Ensemble, on le réalise
J’écris au temps qui doute, qui s’en va et qui revient ;
Viens on vit au jour le jour, et on verra bien demain.
J’écris souvent la nuit, elle me répond en silence ;
Et j’en oublie que la vie, n’est qu’une étoile filante.
J’écris pour exister ? Ou j’existe pour écrire ?
Si j’ai longtemps hésité, c’est que je peine à me relire.
Maintenant je me lance, et ça commence avec ce disque ;
Seul je n’ai aucune chance, mais ensemble on le réalise.
D’avance, un grand MERCI pour ton soutien.