Essai post-apocalyptique

de Tiago Branquino

Vevey et Montreux

∞ est un essai cinématographique dans un monde post-apocalyptique où l’homme n’est plus. C’est un croisement étrange entre poésie, existentialisme, science-fiction et action.Entre film et performance.

CHF 1’500

100% de CHF 1’500

100 %
Comment ça fonctionne

Le principe du «tout ou rien» s’applique: l’argent ne sera reversé au projet qu’à condition d’avoir atteint ou dépassé l’objectif de financement.

12 contributeur*rices

Clôturé avec succès le 22.5.2015

Le projet

∞ est la rencontre de deux plumes, celles de Boris Degex et de Tiago Branquino. D’un côté se trouvait l’envie de créer un film d’action et de science-fiction, de l’autre, un essai contemplatif et existentialiste.

∞ est la combinaison des talents différents mais complémentaires de Boris Degex, Tiago Branquino, Tom Wahli et Matthew Franklin.

∞ est une réflexion de groupe, enrichie de l’influence de chacun de ses quatre géniteurs à chacune des étapes de sa création.

∞ est l’histoire du dernier homme sur terre, perdu, hors des notions de temps et d’espace.

La création

Tout débute lors d’une visite sur le site de l’ancienne usine électrique de Chavalon, perdue sur les flancs de la vallée du Rhône.

Vestige d’une civilisation ayant déserté ces lieux, l’endroit inspire les deux écrivains, alors accompagnés de Matthew Franklin, d’ores et déjà préposé au poste de directeur de la photographie du projet.

Après quelques mois d’écriture, les deux scénaristes remettent le script entre les mains de Tom Wahli, étudiant en cinéma, qui réalisera le projet.

Finalement, le film sera tourné entre les hôtels désaffectés de Glion, les Gorges du Chauderon et une ancienne usine désaffectée. Le rôle principal est tenu par Boris Degex.

Aujourd’hui

A ce jour, le film est monté. Il n’y manque que quelques effets spéciaux et nous avons enregistré le poème et la prose accompagnant la série de photographie mouvante qui compose ce projet.

Des images grandioses montrant l’homme tout petit dans les espaces gigantesques et vides dans lesquels nous l’avons placé, seul face à lui-même.

«Et quand le confort meurt, il ne reste que le miroir… Plus rien pour nous détourner de nous-même, de l’existentialisme face à la vie, le monde… et la mort.»

Parallèlement, une bande originale rappelant les teintes des compositions de Pink Floyd pour More et La Vallée de Barbet Schroeder, est en phase finale d’enregistrement.

Cette dernière est intégralement composée et interprétée par Matthew Franklin et Aloys Christinat du groupe Grand Morse, de l’AFM, Vevey.

Une vidéo du matériel «fait maison», du groupe.

Présentation

Une collaboration est en cours avec Cinérive pour nous offrir une carte blanche au Cinéma Plein Air de la place Scanavin à Vevey. Nous comptons y projeter ∞ en avant-première le 9 août prochain.

Nous sommes également en discussion avec le Rocking Chair de Vevey, afin d’organiser cet automne, une soirée performance durant laquelle la Voix Off et la Bande Originale seraient jouées en live.

We Make It

Le but de ce wemakeit est de récolter les fonds nécessaires pour s’offrir un mastering son aux petits oignons pour ce projet censé ravir autant les yeux que les oreilles. Ce dernier doit être réalisé chez Wassim Abdulla dans les locaux de l’AFM, Vevey.

Nous espérons également couvrir les frais nécessaires à l’organisation des différents évènements autour du projet.

Qui sommes-nous?

  • Tiago Branquino: Écriture, jeu, coordination, production
  • Boris Degex: Écriture, jeu, voix off, montage
  • Tom Wahli: Réalisation, co-écriture, montage
  • Matthew Franklin: Photographie, composition et interprétation de la bande originale
  • Quentin de Lattre: Assistant photographe
  • Aloys Christinat: Composition et interprétation de la bande originale
  • Alba Benavent: Maquillage et costume
  • Figuration: Estelle Bonjour, Marc Wahli, Dimitri Rudra, Maya Daeppen, Germain Lot

Le Paradoxe du Singe Savant

Une infinité de singes, tapant aléatoirement sur une infinité de machine à écrire, durant une infinité de temps, reproduira «presque sûrement» n’importe quelle œuvre littéraire, dont la totalité de l’œuvre de Shakespeare.