Soyons les acteurs de notre palais des saveurs.
L’objectif est de planter des arbres et autres plantes dites tropicales, des vieilles espèces, des plus récentes. Tout cela basé sur ces critères: Délicieux, résistant et bien sûr naturel.
Lieu: 1669 Albeuve, en Gruyère.
Arbres déjà en place à 900m altitude: Kiwis, Amandiers, Figuier, abricotiers, pommiers, cognassier, Lycium barbarum (goji), Aronia…
En projet : Asiminier (goût et texture entre banane et mangue), Le bananier ou Musa basjoo, Canneberge, Goyavier du Chili, yuzu, vigne, néflier, amélanchier, mandarinier et tant d’autres espèces adaptés ou à adapter à notre climat.
Culture de légumes en tout genre.
Méthodes de cultures entièrement naturelles.
Chaque plante joue un rôle
Le chardin intervient lors d’une saturation du Complexe argilo-humique par excès de MO animale (principalement). Il débloque le phosphore ainsi bloqué et le rend assimilable par ses racines qui plonge jusau’à 3 m de profondeur et dans son système foliaire.
Le liseron décompacte le sol grâce à ces micro-racines traçantes, il indique également une saturation du complexe argilo-humique par de l’azote.
Le pissenlit indique un engorgement du sol en matière organique, un blocage par le froid et un compactage. Tant qu’il n’est pas dominant, c’est un bon indicateur de prairies riches
La nature nous enseigne, à nous de la comprendre et de fonctionner avec elle.
Grâce à vous
Grâce à votre soutien je vais pouvoir investir du temps et des moyens pour installer de nouveaux arbres, des variétés anciennes et résistantes, des variétés plus tropicales ou d’autres variétés plus récentes et bien sûr naturelles. Je vais continuer à faire de la sélection naturelle de graines en tout genre et les partager afin que chacun puisse accéder aux délices de la nature. Je vais également acquérir une cuve afin de dynamiser l’eau, ce qui augmente grandement la résistance des plantes, leur potentiel nutritif ainsi que le rendement (plus il y a de biomasse plus la terre peut subvenir aux besoins des plantes). Parfois l’on entend qu’il ne faut pas viser le rendement, ce n’est pas faux dans la vision de l’agriculture très industrialisé qui le fait au détriment de la nature. Et pourtant c’est un résultat inévitable des méthodes naturelles de cultures. La forêt en est l’exemple clé car elle est le milieu qui produit le plus de biomasse sur Terre. Plus il y a de rendement, plus il y a de biomasse et inversement. C’est un cercle vertueux. «Ce n’est pas à la nature de produire comme nos usines, c’est à nos usines de produire comme la nature» Gunter pauli