Auto-édition de «Corps de l'âme»
Si je devais écrire une seule histoire à porter auprès des lecteurices, ce serait «Corps de l’âme - Pas de veine pour toi».
Ce livre est profondément ancré dans mon cœur depuis mon enfance. Il traduit l’envie de vivre malgré le désespoir adolescent. Il parle de blessures, de fêlures même, que l’on peut réparer grâce aux bonnes personnes. En amitié, en musique, en amour, ce roman pose sur la table la dure réalité et la chaleur que l’on peut trouver ainsi blotti·e contre des proches bienveillant·e·s.
Quatrième de couverture : « Ça doit faire deux heures et quart que nous sommes sur la route pour rejoindre l’Institut. Mes parents s’ignorent. J’ai conscience d’être la seule raison qui les réunisse aujourd’hui. Et ce n’est pas pour festoyer.
Il y a quelques semaines, un type d’à peine dix-huit ans se tranchait les veines dans sa baignoire. Ce mec, c’était moi. »
L’Institut Joly accueille des jeunes gens « traumatisés de la vie ». Là-bas, Shawn devra harmoniser son parcours avec celui d’autres pensionnaires brisés. Des mélodies aux rythmes hachés, marquées de fausses notes et de reprises laborieuses. Des ballades portées par des voix uniques, sensibles et passionnées.
Ce que mon projet a de spécial ?
«Corps de l’âme - Pas de veine pour toi», c’est LE livre, celui que j’ai réécrit après son grand frère «Les Inséparables». J’ai confié cet ouvrage à des bêta-lecteurices, puis à quatre merveilleuses femmes : une lectrice sensible, une éditrice indépendante, une correctrice professionnelle et une graphiste/illustratrice. Ainsi, notre travail commun a mené mon roman à ce qu’il est aujourd’hui : une histoire aboutie qui peut voler jusqu’à vous.
Ce roman pose sur la table la dure réalité, mais aussi la chaleur que l’on peut trouver chez les gens pour qui l’on compte. Sans prétention, il se veut néanmoins porteur d’un message : c’est en parlant de nos ressentis qu’on peut les rendre visibles et soigner nos traumas. Assistante sociale de formation et de métier, j’ai utilisé la fiction pour créé un cadre sécurisant à destination d’adolescents en souffrance. Vous pourrez les voir évoluer, freiner, les entendre réfléchir, apprendre à communiquer, et les observer guérir.
Contribuer à cette campagne de financement participatif, c’est assurer à mon roman un superbe départ entre vos mains, tout en valorisant mon travail et celui d’artistes passionnées. C’est également mettre en avant une littérature que je veux sincère, tout en me permettant d’avancer vers la réalisation de mon rêve : vivre de l’écriture.
A quoi votre soutien va servir ?
Trois artisanes suisses font partie de l’aventure et vous proposent des marque-pages en bois pyrogravés, ainsi que des bougies recyclées, et des tote bags aux notes crochetées. Les pochettes à livres de ma belle-maman sont aussi là pour protéger «Corps de l’âme». Enfin, mes premiers ateliers Littera’Louve vous aident à révéler votre écriture dès 2024. Avec mon livre, je mets en valeur ces créations et prestations inspirées, inspirantes, limitées et uniques.
En résumé, votre investissement dans cette campagne de financement me rendra heureuse et libre de continuer mon activité d’autrice, tout en me procurant beaucoup de joie à l’élaboration de vos paquets. C’est un lien privilégie auquel je tiens, bien qu’il ait un coût. Mais grâce à vous, il peut continuer d’exister en valorisant mon projet. C’est tout bénéf, non ?