La Croatie monumentale
von Danielle Majani
Un reportage sur des monuments... en Croatie...
Oui… mais pas n’importe quels monuments! D’ailleurs parlons peu, montrons plutôt: Je vous propose de découvrir!
Mon reportage «La Croatie monumentale» vous emmènera à la découverte de ces monuments, et d’autres encore. Ils se trouvent là où vos vacances ne vous ont jamais conduits: à l’intérieur des terres croates, dans la nature, non loin de modestes villages qui parfois ne savent que faire de ces témoins du passé.
Des monuments d’hier qui disent la Croatie d’aujourd’hui
Ils s’appellent spomeniks. Un mot générique qui signifie monument commémoratif. Ceux que vous allez découvrir ont en commun: le fait d’être en lien avec la deuxième guerre mondiale et d’avoir été commandités par le Maréchal Tito du temps de la Yougoslavie. Chacun d’entre eux ont une valeur artistique, qui n’est pas remise en cause.
La Croatie d’aujourd’hui n’est plus d’accord de ne commémorer que ces seules victimes de la guerre. La figure de Tito est aussi controversée. Il est désigné tel un dictateur.
Loin des discours politiques et de la capitale, je vous propose d’interroger ceux qui habitent près de ces monuments. Leur poser des questions pratiques: combien coûte l’entretien du spomenik? Qui vient les visiter aujourd’hui? Faut-il les conserver?
Puisqu’on parle de Tito, allons voir où il est né...
Samedi 28 mai 2016, je serai à la «Journée de la jeunesse et de la joie.» Une cérémonie se déroule chaque année, dans le village de naissance de Tito. C’est l’occasion, selon les organisateurs, de célébrer les valeurs du communisme et de la Yougoslavie. Un retour vers le futur, haut en couleur!
«La croatie monumentale»... côté pratique
Reportage multimedia en français, «La Croatie monumentale» sera un lien internet – d’accès public – qui regroupera tous mes textes, sons, vidéos et images, à la suite de mes quatre semaines sur le terrain. Le lien sera disponible à compter du 15 juillet 2016.
J’ai besoin de votre aide pour m’aider à financer les frais de traduction (EUR 350 la journée) – je dois être accompagnée par un interprète sur la plupart des sites –, et de déplacement à l’intérieur de la Croatie – ma base est Zagreb, la capitale.
Si les donations devaient dépasser mon budget initial, je m’en servirais pour acheter des droits d’utilisation de photos d’archives où l’on peut voir les spomeniks le jour de leur inauguration, par exemple. Conservés aux Archives nationales croates et au Musée de l’histoire de la yougoslave en Serbie, ces documents sont payants, et ont été peu souvent diffusés de ce fait.
Des contributions artisanales, «made in Croatia»!
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