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Merci et encore merci à tous! Votre aide a été précieuse pour concrétiser ce projet.
Vous recevrez votre livre d’ici la semaine prochaine, en mains propres ou par la poste, pour ceux qui m’ont transmis leur adresse.
Vous pouvez déjà réserver la date du vernissage qui se tiendra le mardi 19 novembre, dès 18h30, au Château de St-Gingolph.
À très bientôt!
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La maquette du livre est en cours d’ élaboration, le livre prend forme et je me réjouis de partager l’aboutissement de ce projet avec vous.
Pour les contributeurs qui ont pris l’option des tirages photos 20X20cm, vous pourrez bientôt faire votre choix!
Pour ceux qui ont pris l’option de la séance photo, je vous invite à me contacter et prendre rendez-vous. La séance pourra être réalisée aussi bien en studio qu’à l’extérieur.
A bientôt!
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Ce message pour vous remercier, vous contributeurs, qui permettez lʼavancée de ce projet!
En 25 jours, 33% du montant global ont déjà pu être récoltés grace à vous. Cependant la partie est loin dʼêtre gagnée.
Il faut désormais que les nombreux contributeurs qui se cachent sortent du bois! Car il ne reste que 19 jours pour réunir chf. 5330.-
Qui sont les Gingolais? Suisses ou Français? Montagnards ou lacustres? Saint-Gingolph est un petit village… avec une grande histoire… Vos contributions permettront de la raconter dignement.
Merci.
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« Je me suis marié en 44, j’étais à l’affiche quand y a eu le coup de St-Gingolph (La tragédie de Saint-Gingolph, le village mis à feu par les SS le 23 juillet 1944), alors je suis resté pendu -c’est le cas de le dire- à la Mairie jusqu’au mois d’octobre.»
«Ça avait brûlé chez nous, je me suis retrouvé avec rien, plus rien, que les habits que j’avais sur moi, une veste d’été, un pantalon, une chemise… On est revenu y avait plus rien, la maison raclée, brûlée… On avait été se réfugier à Novel.»
«Il y a eu une attaque de la garnison par le Maquis, puis on peut dire la verité, ça a mal tourné. Le Maquis n’était pas organisé, ça a été un gachis. Ils sont repartis et puis le lendemain des SS sont arrivés,ils avaient l’ordre de brûler, débarasser le village comme ils avaient fait à Oradour.»
«Et c’est l’intervention d’autorités suisses qui a sauvé la moitié du village. Parce qu’il y a des propriétés de Suisses qui étaient en France, et la Suisse n’était pas en guerre avec l’Allemagne. Ils ont fait valoir ça.»
«Ça a été très difficile, ya eu des tractations très dures, mais pour finir les allemands ont abandonné et toute la partie sud du chemin de fer du village n’a pas été rasée.»