Du rétro en série
Avant toute chose, on vous convie à zieuter les 2 premiers épisodes de notre web série, histoire de savoir d’emblée dans quelle combine il s’agit de tremper.
Vous aimez le rétro ? Ainsi que les bonnes vieilles rengaines pas piquées des hannetons ?
Vous êtes au bon endroit.
Les Marouflards, c’est donc un projet de web série, dont 2 épisodes ont été tournés, et que vous pouvez zieuter sur cette page.
Nous les diffusons également en ce moment même en ligne avec notre partenaire média, La Tribune de Genève.
Trève de salamalecs, voici déjà l’épisode 1 ci-dessous.
Le bon vieux temps, c'est maintenant!
Les Marouflards, c’est comme un désir d’une histoire rétro et des personnage hauts en technicolor. Le tout dans un Genève des années 30, parce qu’on aime beaucoup notre bonne vieille Cité de Calvin.
Il s’agit maintenant de financer deux épisodes supplémentaires - on rêverait d’en faire 8, mais on va y aller par étapes…
Ces deux nouveaux épisodes seraient diffusés en octobre 2018.
Il serait question du braquage d’un vieux tramway genevois dans l’épisode intitulé «Un tramway nommé délire». Et un second épisode, dont le scénariste n’a pas encore livré le titre ni l’intrigue.
Ci dessous-vous, pouvez zieuter le second épisode:
Un précieux magot
Si vous avez apprécié les 2 premiers épisodes, vous voulez voir la suite… mais cela ne se fera pas sans vous.
Tourner des épisodes nous a renseigné sur le prix de production, que nous estimons à CHF. 13’000.- par épisode, en se serrant un peu la ceinture.
Le montant de cette compagne de financement participatif viserait à pouvoir rémunérer comédiens et équipe technique pour 2 nouveaux épisodes, tout comme celui qui compose la musique. Sans ce précieux magot, la suite n’existera tout simplement pas.
Le budget inclurait aussi la réalisation d’une belle affiche de la série, façon poster vintage de cinéma, qui serait un des éléments à obtenir en contrepartie.
On vous remercie déjà pour votre contribution.
Vous pouvez suivre les actualités des Marouflards sur Facebook, en revanche il n’ont ni Instagram ni Snapchat, qui n’existaient pas en 1932…