Dévoiler des faits cachés peut changer le monde. Soutenez deux enquêtes inédites et essentielles pour mettre en lumière les pratiques douteuses de sociétés suisses dans les pays pauvres.

CHF 31’130

207% de CHF 15’000

207 %
Comment ça fonctionneä

Le principe du «tout ou rien» s’applique: l’argent ne sera reversé au projet qu’à condition d’avoir atteint ou dépassé l’objectif de financement.

323 contributeur*rices

Clôturé avec succès le 8.5.2018

« J’ai du bon tabac »

Depuis 1968, Public Eye lutte contre les injustices trouvant leur origine en Suisse. Pour fêter notre 50e anniversaire, nous voulons rendre possibles, avec vous, des enquêtes inédites sur les pratiques douteuses de sociétés suisses dans les pays pauvres. Car les faits dévoilés par les journalistes sont essentiels pour donner une voix aux victimes et provoquer des changements indispensables.

Nous avons appelé les journalistes du monde entier à nous soumettre leurs projets. Parmi les 55 propositions reçues, notre jury de renom en a choisi 2. Par votre contribution, vous pouvez rendre possibles ces enquêtes essentielles. Le résultat de ce travail sera publié en ligne et dans un numéro spécial du magazine de Public Eye, que recevront toutes les personnes qui soutiendront ce projet.

Aidez-nous à récolter d’abord 15’000 francs pour que Marie Maurisse, de l’agence Vesper.media, puisse enquêter sur les stratégies des géants du tabac pour s’imposer en Afrique, notamment auprès des jeunes. Il est très difficile d’obtenir des informations fiables sur ce secteur. Grâce à vous, Marie pourra enquêter en Suisse, en Europe et dans plusieurs pays africains. Journaliste chevronnée, elle mettra tout en œuvre pour dévoiler les «recettes secrètes» de ces sociétés qui sacrifient la santé publique au nom du profit…

  • Photo: Sébastien Monachon - www.bsc8.ch
    Photo: Sébastien Monachon - www.bsc8.ch
  • Marie Maurisse. Photo: Sébastien Monachon - www.bsc8.ch
    Marie Maurisse. Photo: Sébastien Monachon - www.bsc8.ch
  • © Feisal Omar / Reuters
    © Feisal Omar / Reuters

Dans l’enfer des cimetières de bateaux

Si nous parvenons à financer la première enquête, nous voulons récolter 15’000 francs supplémentaires pour que Nicola Mulinaris, de l’ONG Shipbreaking Platform, et Gie Goris, de MO* Magazine, puissent mettre en lumière le rôle des sociétés suisses dans le démantèlement sauvage des bateaux en Asie du Sud. Les deux hommes veulent aussi donner la parole aux victimes de cette forme de «colonialisme toxique», dont les conséquences sociales et environnementales sont dramatiques.

  • © Tomaso Clavarinos
    © Tomaso Clavarinos
  • © Brendan Corr, Panos Pictures
    © Brendan Corr, Panos Pictures
  • © Shiho Fukada, Panos Pictures
    © Shiho Fukada, Panos Pictures
  • Gie Goris et Nicola Mulinaris
    Gie Goris et Nicola Mulinaris

Pourquoi soutenir ce projet

Comment les cigarettiers réussissent-ils, depuis la Suisse, à enfumer l’Afrique? Quelle est la responsabilité des sociétés helvétiques dans le démantèlement toxique des bateaux en Asie du Sud? Ces enquêtes essentielles sur des secteurs opaques demandent du courage, du temps et des moyens. Nous voulons les rendre possibles – avec le soutien de toutes celles et ceux pour qui les injustices sont intolérables.

Grâce à votre soutien, Marie Maurisse, Nicola Mulinaris et Gie Goris pourront enquêter et donner une voix et un visage aux victimes de ces injustices. Votre contribution est également un message fort sur l’importance du journalisme d’investigation.

Merci de votre soutien!