Nous répondons aux «appels à l’aide» téléphoniques de personnes touchées par une problématique d’alcoolodépendance et de leurs proches. Ecoute et conseils. Des répondants formés sont disponibles 24/7.

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Comment ça fonctionneä

Le principe du «tout ou rien» s’applique: l’argent ne sera reversé au projet qu’à condition d’avoir atteint ou dépassé l’objectif de financement.

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Clôturé le 25.1.2021

Ecoute et conseils

Nous sommes là pour répondre à ceux qui lancent un SOS et composent le 0848 805 005. Des personnes formées (collaborateurs ou bénévoles) se relaient et répondent aux appels à l’aide, lancés par des personnes de toute la Suisse romande.

En plein jour ou au milieu de la nuit, nous voulons être là pour offrir une écoute bienveillante et non-jugeante, de même que des conseils aux personnes qui nous contactent. Pour certains, c’est le souvenir d’un instant où tout aurait pu basculer… Pour d’autres, c’est le déclic pour sortir du déni et commencer un accompagnement individuel avec l’un de nos collaborateurs psychosociaux.

Une porte de secours

Pour de nombreuses personnes que nous suivons dans nos lieux d’accueil, tout a commencé par un appel à l’aide sur la ligne SOS Alcool. L’anonymat aide à faire ce premier pas qui peut alors ouvrir sur un soutien concret et de grands changements pour le meilleur.

L’un des répondants partage trois situations vécues par téléphone dernièrement :

Bernard*, un homme d’un certain âge, est en pleine crise. Sa sœur vient de lui confisquer toutes ses bouteilles et dans un élan sombre, il annonce qu’il veut en finir. Au fil de la discussion, il trouve une bouteille cachée dans son appartement et commence à la boire à grandes gorgées pour se calmer. Le répondant réussit à maintenir le lien téléphonique et comprend que l’appelant cherche une oreille attentive. L’appel téléphonique offre un lien humain et de l’écoute dans un moment de grande souffrance.

Jennifer*, jeune fille de 17 ou 18 ans, souffre des problèmes d’alcool de sa mère. Elle exprime son désespoir et son inquiétude par rapport à son petit frère, profondément touché par la maladie de sa maman. Lors de l’appel, la jeune fille aborde des questions concrètes : comment aider ? doit-elle quitter la maison ? ou au contraire rester pour protéger son frère ?

Aline*, dépendante de l’alcool, n’en peut plus de « tout gâcher » avec l’alcool. Elle se rend compte que sa relation avec son mari est mise à mal et qu’elle a besoin d’être soutenue. Elle décide de se faire accompagner et l’appel débouche sur un suivi avec notre Secteur social.

  • Prénoms d’emprunt, situations d’appel vécues durant l’année 2020.

Développement et promotion de la permanence SOS Alcool

Aidez-nous à :

  • coordonner et développer la ligne de téléphone SOS Alcool
  • promouvoir cette ressource dans les médias et sur les réseaux sociaux
  • développer les formations que nous proposons aux répondants
  • proposer une supervision de qualité à nos répondants