Nouveau site internet du SAG

De quoi s'agit-il ?

Notre site internet (www.stopogm.ch) - en service depuis bientôt 15 ans - doit être modernisé, simplifié pour les visiteurs et adapté aux défis à venir. Il est également prévu d’utiliser un autre programme de gestion de sites internets pour que l’équipe de l’ASGG puisse s’occuper plus rapidement et plus facilement du contenu. Il sera aussi fusionné avec le site de la campagne « Pas de génie génétique par la petite porte » (www.stop-nouveaux-ogm.ch).

Le site internet est la pièce maîtresse des outils de communication de l’Alliance suisse pour une agriculture sans génie génétique (ASGG) qui s’engage pour une agriculture sans OGM. Grâce à la transmission de connaissances sur des thèmes complexes pour les profanes intéressés et à des textes de mise en perspective, ce site internet (plus de 25’000 accès par an) met à disposition des informations scientifiques et critiques sur le génie génétique, en particulier dans l’agriculture. C’est unique en Suisse.

Pourquoi ?

Nous sommes arrivés dans une nouvelle phase, où nous devons nous présenter différemment : de manière plus directe, plus moderne et encore plus déterminée. En effet, un processus politique est en cours en Suisse, qui pourrait conduire à ce que le nouveau génie génétique soit bientôt réglementé moins strictement que jusqu’à présent. Nous accompagnons activement ce processus, et en cas de nécessité, nous utilisons les instruments de la démocratie directe (référendum, initiative).

Renforcement des objectifs !

Les nouvelles techniques génomiquesdoivent continuer d’être réglementées comme les anciennes qui permettent de garantir :

1. La déclaration obligatoire , car seule la transparence permet aux consommatrices et consommateurs qui ne veulent pas consommer d’OGM de savoir quels produits acheter. Et aux agriculteurs de ne pas cultiver d’OGM.

2. La responsabilité et la coexistence : des mesures efficaces sont nécessaires pour empêcher toute contamination du champ à l’assiette. Les coûts doivent être supportés par les fabricants ou les produteurs d’OGM (principe du pollueur-payeur).

3. L’évaluation des risques : les nouvelles techniques génomiques (NTG) sont aussi des techniques de génie génétique, avec des risques environnementaux et sanitaires spécifiques au génie génétique qui doivent être évalués.