Le deuxième album de La Bande à Joe
En 2015, La Bande à Joe sortait son premier album «Histoires». Ce dernier a été reçu avec enthousiasme à la fois par le public et les professionnels de la musique. En témoignent de nombreux concerts ainsi que la diffusion de morceaux sur Couleur 3 et RTS la 1ère. Pour son deuxième album, intitulé SOLSTICES, La Bande à Joe a redoublé d’efforts et de soins.
Des collaborations réussies
Le groupe a opté pour un enregistrement de haut niveau au Kitchen Studio sous la houlette de Yvan Bing. Cet ingénieur de son on ne peut plus pro (disque de platine avec Phil Collins, mixage du Wu Tang Klan, collaborations locales pleines de succès avec Duck Duck Grey Duck, le Roi Angus, …) a été enthousiasmé par le projet et n’a pas ménagé sa créativé.
Thomas Koenig, artiste visuel veveysan, a été contacté afin de fournir l’identité visuelle du projet. Son univers haut en couleurs, plein de vie et d’originalité correspond parfaitement à l’esthétique des dernières créations musicales de la Bande àJoe. La pochette a été soigneusement pensée en relation avec la rotation et les apex des solstices d’hiver et d’été qui structurent l’album de la Bande à Joe.
L’album sortira comme le précédent avec 300 vinyles ainsi qu’en format digital (à télécharger ou écouter en streaming sur Spotify, iTunes, etc.) en collaboration avec Cheptel Records, le génial label genevois avec qui la Bande à Joe est fière de collaborer.
La Bande à Joe bénéficie du soutien de la ville de Lausanne et du Canton de Vaud pour financer tout cela mais a besoin de 3000 CHF supplémentaires dans un budget total dépassant 10’000 CHF. Nous participons également au Swisscom Music Booster (https://wemakeit.com/pages/swisscom).
Deux solstices pour un album à la fois profond et fun
Les huit titres de SOLSTICES mettent clairement en avant l’expérience musicale acquise par le groupe et la maturité des textes. Les morceaux exploitent de nouveaux ressorts créatifs, notamment à travers de sonorités instrumentales inattendues, explorant les frontières d’influences variées, des solos virtuoses, des structures musicales intriquées dans certaines chansons et d’autres plus pop que jamais.
Il se divise en deux faces: un solstice d’été rayonnant de vibrations chaudes quoique parfois teintées de l’automne (C’est l’été; Nuit d’or; Syndrome Stendhal; C’était il y a longtemps) et un solstice d’hiver moins accessible mais sans doute plus profond (Souffle; Hirondelles ; Le vide ; La chanson de Joe).