Le solo de danse est un hommage à la féminité en tout et à la Terre Mère. Il naît de l'origine du yoga et de la danse de la lenteur. Grâce à ton soutien, tu contribues à la réalisation de ce projet.

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Comment ça fonctionne

Le principe du «tout ou rien» s’applique: l’argent ne sera reversé au projet qu’à condition d’avoir atteint ou dépassé l’objectif de financement.

36 contributeur*rices

Clôturé avec succès le 30.4.2024

Cosmic Mother est une prière dansée pour la Terre. Avec la force de la transformation, elle sert comme inspiration pour la danse sans forme.

En tant que fille de cette terre, je souhaite remercier la beauté de la terre par une prière corporelle dansée - de manière spirituelle - et m’abandonner à la mère cosmique invisible. Le vide est la mère de l’univers. Elle semble être la matrice de toute chose. La dakini, la danseuse du ciel - comme on l’appelle dans le bouddhisme - se sent ici chez elle dans le vaste espace. Elle pratique sa danse dans un rythme éternel qui traverse l’espace. Mon médium est la danse et je souhaite ainsi m’engager pour la floraison de la force féminine.

En Islande, je me plonge régulièrement dans la force originelle de la mère cosmique et je trouve mon inspiration.

Par le don de la danse, je m’abandonne au non-manifesté afin de pouvoir écouter en silence quelle est la signification de la création qui veut se révéler à travers ma danse. Le médium de la photographie permet de réaliser des captures d’écran de ma danse. Dans ma deuxième patrie - la nature impressionnante de l’Islande - je peux particulièrement ressentir la force originelle de la mère cosmique. Je m’y rends régulièrement avec mon partenaire Christoph Lauener. C’est à lui que je dois la plupart des magnifiques prises de vue.

Le solo de danse a commencé par des recherches en Islande. Il s’est développé au cours du processus de création du livre et mûrit en répétant continuellement dans le paysage suisse et en studio. La co-création avec d’autres participants est le fruit d’un travail créatif important : la création des costumes de Rachel Ghazarian, la scénographie de Stefanie Koscevic, la construction d’éléments scéniques de Manuel Burgener, la conception des lumières et de la scène de Marc Calame, les conseils artistiques de Christoph Lauener et les conseils du projet de Juliane Seifert. En novembre 2024, le solo de danse sera présenté sur scène.

L’essence de la féminité, telle que j’ai pu l'expérimenter dans ma vie, conflue dans cette danse.

«Est-ce que je peux encore devenir danseuse dans cette vie?» C’est ce que je me suis demandé. - Oui, elle le peux!

Elle a été ressuscitée une nouvelle fois. Intérieurement, elle est déjà en mouvement, elle va se révéler à l’extérieur. La femme ose vivre toutes les parties en elle et les savourer entièrement.

«Quand la danse devient méditation, elle peut s’épanouir dans l’amour». Hiah Park