L’effroyable spirale d’une société déshumanisante. Un spectacle d’une rare intensité.

CHF 5’860

117% di CHF 5’000

117 %
Come funzionaä

Vale il principio del «Tutto o Niente»: la somma raccolta verrà corrisposta al progetto, solo se esso avrà raggiunto o superato l’obiettivo di finanziamento.

44 sostenitori

Concluso con successo il 11.6.2013

De quoi s’agit-il?

Fri’Bouffes, présente, pour sa deuxième production, «Die Sieben Todsünden» (Les Sept péchés capitaux), ballet chanté né de la collaboration entre Kurt Weill et Bertolt Brecht. De jeunes artistes talentueux feront revivre cette oeuvre exceptionnelle, qui mélange chant, danse et théâtre les 19 septembre 2013 à la salle Podium à Guin (FR), le 21 septembre à la salle Bicubic à Romont (FR), et le 22 septembre, à la salle CO2, à Bulle (FR). En première partie, vous serez accueillis par un récital de mélodies de Weill. Votre soutien, indispensable, permettra la construction des décors et la création des costumes !

Distribution

  • Mise en scène : Christophe Schuwey
  • Direction musicale : Marc Leroy-Calatayud
  • Orchestre : Orchestre de Quat’sous
  • Chorégraphies et rôle d’Anna II : Justine Arm
  • Anna I et chanteuse (récital) : Sandrine Droin
  • Pianiste (récital) : Clémence Hirt
  • La Famille : Tristan Blanchet, Matthieu Romanens, Guillaume Castella et Simon Tournier

Résumé

Anna, jeune fille représentée simultanément par une chanteuse et une danseuse, part pour un voyage de sept ans dans sept villes américaines pour y faire fortune, afin de construire, pour elle et sa famille, une petite maison en Louisiane. Chacune des villes la confronte à une situation perverse où un sacrifice est nécessaire. Le voyage est un succès: la petite maison est construite… à quel prix?

L’histoire d’Anna, c’est notre histoire à tous : nous mourons à petit feu, pour nous conformer à ce qu’on attend de nous, pour… Pourquoi ? Pour gagner une légitimité dans le monde, vis-à-vis de ses amis, de sa famille, de ses supérieurs. Et tant pis si l’on sent bien, au fond que quelque chose ne joue pas. Mieux vaut ne pas trop faire de remous : la majorité a toujours raison.

C’est ce que Brecht et Weill montrent dans cette oeuvre terrifiante où la morale est utilisée pour soumettre (et tuer) l’humain.

Un tel spectacle, un tel message mérite votre soutien !

  • Images de Dédé, notre premier spectacle / Bilder von Dédé, unsere erste Produktion
    Images de Dédé, notre premier spectacle / Bilder von Dédé, unsere erste Produktion