Un film documentaire qui raconte la réalité des femmes sans-papiers à Genève. Elles nettoient nos bureaux, nos maison, s'occupent de nos enfants, mais sont sans-papiers et restent invisibles.

CHF 8’628

215% di CHF 4’000

215 %
Come funziona

Vale il principio del «Tutto o Niente»: la somma raccolta verrà corrisposta al progetto, solo se esso avrà raggiunto o superato l’obiettivo di finanziamento.

130 sostenitori

Concluso con successo il 16.3.2021

Commentare

Fai il login con il tuo profilo, per commentare questo progetto.

Accedi

  • Merci du fond du coeur à toutes et à tous pour ce soutien dans ces quelques heures qui nous reste! C’est absolument magnifique, j’en suis complètement émerveillée et si touchée! On y est presque, mais sans soucis, étant donné que nous avons touché notre premier but, tout ce que nous touchons maintenant pourra quand-même nous être versé pour le film! alors encore une fois merci!

    Maevia Griffiths il 16.3.2021 08:01

  • J’espère vivement que quelqu’un pourra compléter ce qui manque. Je suis dsl, je ne peux pas faire faire plus, je suis moi-même en plein crowdfunding et ça n'est pas gagné mais merci pour toutes ces femmes. Bonne chance!

    Marie-Christine aubert il 16.3.2021 07:56

  • Pour tous femmes et hommes de l’ombre remplis de courage, d’amour et d'abnégation merci.
    Pour Mara ce rayon de soleil

    MJD il 15.3.2021 12:45

  • XO from the TO, Mae! Can’t wait to see the finished project.

    Patricia Dada il 16.2.2021 22:03

  • cette population est un rouage essentiel de notre économie mais des milieux de voyoux veulent la laisser dans l’ombre afin d’en profiter au maximum. L’esclavage du 21ème siècle. Par conséquent tout ce qui peut être fait pour sensibiliser l’opinion publique doit être soutenu...

    Michel Badan il 12.2.2021 10:58

  • Si ce documentaire peut donner ne serait-ce qu’un peu de dignité et de visibilité à ces Femmes 🏾

    Marie-Jo K. Boccard il 10.2.2021 15:30

  • C’est un thème qui me touche depuis longtemps car au cours de ma vie, plusieurs fois, j’ai rencontré ces femmes invisibles. Elles s’appelaient Tita, Emma, venaient des Philippines ou de Bolivie et menaient une existence d’extrême courage et d'immense solitude. Je pense souvent à elles.

    Cassignol il 10.2.2021 15:15

  • C’est déjà difficile pour beaucoup d’entre-nous, femmes et hommes et autres, de savoir pouvoir prendre une place ou garder une place, et savoir faire de la place place... une attention ...toujours féconde quand on y prend garde avec soin.

    Mariko il 10.2.2021 12:07

Plus
Caricato il Commenti 9 – 16 su 12...