Pourquoi une histoire de chat ?
Mon fils Léonard a toujours voulu un chat. Il y a deux ans, Loulou est venu chez nous comme un chaton de trois mois, d’ailleurs un cadeau d’une chère amie.
Les premières nuits, Loulou se glissa sous la couette de Léonard et se chauffa à son corps. Leonard dormait à peine. Il était si inquiet si son chat allait bien. Après quatre nuits, il est venu vers moi en pleurant. Il sanglota qu’il aimerait dormir de nouveau sans être interrompu.
Alors, j’ai pris soin de Loulou. Et encore pendant des mois, elle chercha la proximité des être humains pendant la nuit, et elle se glissa sous ma couverture.
«Maman, écris-nous une histoire!»
Soir après soir avant de se coucher, j’ai raconté des histoires à mes deux fils, qui ont maintenant 12 et 14 ans. Nous avons voyagé avec Jim Knopf (écrit par Michael Ende) dans le monde entier, nous avons souffert avec Michel de Lönneberga (d’Astrid Lindgren) quand il a été emprisonné à nouveau, parce que son père n’avait pas compris sa farce; ou nous étions aussi excités que le Docteur Dolittle et ses animaux quand ils sont partis en navire en direction de l’Afrique.
Nous trois, nous avons apprécié ces heures avec ces histoires. Et mes deux fils ont commencé de me répéter: «Maman, pourquoi n’écris-tu pas une histoire pour nous». Et j’ai attendu longtemps jusqu’à ce que je commence.
Le vrai déclencheur de cette histoire ? C’était quand Léonard ne voulait plus aller à l’école. Il se sentait incompris par ses professeurs et il a été taquiné par ses camarades de classe. Cette situation, j’ai essayé de la comprendre et de trouver une solution en écrivant une histoire.
Qu’apporte-t-il votre soutien?
En tant qu’ancienne communication manager de diverses grandes entreprises suisses, j’ai voyagé à Berlin pour imprimer le magazine d’employés de la société X de façon la plus rentable possible.
Mon premier livre illustré pour enfants «Léonard et Loulou» pour enfants de 6 à 99 ans, par contre, j’aimerais imprimer en Suisse et publier dans ma propre maison d’édition. Mon blog qui porte le nom «Swiss Made Story» m’oblige également à le faire ainsi. C’est pourquoi j’ai besoin de votre soutien.
Les dessins, d’ailleurs, ont été faits par une illustratrice et professeur d’Académie d’art en Bulgarie. L’histoire lui plaisait tellement bien qu’elle ait immédiatement accepté de l’illustrer d’une grande attention aux détails.