Le 4.9 des grèves du climat auront lieu dans toute la Suisse ! Celles-ci marquent la première partie du projet «Debout pour le changement». La deuxième partie consiste en de la désobéissance civil.

CHF 56’059

280% de CHF 20’000

280 %
Comment ça fonctionne

Le principe du «tout ou rien» s’applique: l’argent ne sera reversé au projet qu’à condition d’avoir atteint ou dépassé l’objectif de financement.

414 contributeur*rices

Clôturé avec succès le 29.9.2020

Qu'est-ce que «Debout pour le changement» ?

Le 4 septembre, des grèves du climat auront à nouveau lieu dans toute la Suisse, d’Altdorf à Bâle, de Lausanne à Schaffhouse. Ces grèves marquent la première partie du projet «Debout pour le changement» («Rise Up For Change»). La deuxième partie consiste en une semaine d’action de désobéissance civile du 20 au 25 septembre à Berne avec workshops, des assemblées populaires et des événements liés à la résistance et à la protestation. Des militant.e.s du climat de toute la Suisse se rendront à Berne et y feront connaître leurs revendications. Pour réaliser ce projet, nous avons besoin de votre soutien !

Pour voir la vidéo en français copier ce lien: https://www.youtube.com/watch?v=U93z05_-GsY

Pourquoi ce projet est-il si important ?

La pandémie du Coronavirus nous a montré que nos parlementaires et les décideur.euse.s économiques peuvent agir si la volonté est là. Il semble cependant que la gravité de notre situation ne soit toujours pas reconnue, comme si, délibérément, aucune mesure n’était prise contre la crise climatique. La conséquence ? Nous devons accroître notre pression. Pour que nous réussissions, nous avons besoin de votre soutien pour financer la semaine d’action de Debout pour le changement.

Pour cela, nous avons besoin de votre soutien !

Avec votre argent, nous finançons

  • Dépliants et affiches
  • Autorisations
  • Infrastructure (scènes, toilettes, etc.) et la technique
  • Des lieux pour dormir et de la nourriture pour les militant.e.s pendant la semaine d’action

Soutenez-nous maintenant, afin que la crise climatique soit enfin perçue à nouveau pour ce qu’elle est : «La plus grande crise à laquelle l’humanité est confrontée».