Relancer notre brasserie
La Brasserie Brasse-Mortier est un lieu de production de bière et de rencontres situé dans le bourg médiéval de Romainmôtier, au pied du Jura vaudois. Alors qu’elle travaillait dur pour se réinventer avec succès après une période difficile, la Brasse-Mortier a subi de plein fouet la crise du covid-19. Le virus nous a obligés à fermer nos portes peu après avoir engagé notre nouvelle brasseuse, Michela Dupuis. Et alors que nous venions de déposer une demande de patente pour transformer notre brasserie en café-bar. Mais notre coopérative, qui compte aujourd’hui 25 membres, ne se laisse pas abattre. Afin de passer le cap, nous avons besoin d’aide pour financer nos trois prochains brassins. Et ensuite, en avant la musique!
Un lieu de rencontre pour le plaisir
Lorsqu’ils mettent la main à la pâte, nos coopérateurs sont rémunérés en bières. Personne ne s’enrichit à travers notre brasserie. La Brasse-Mortier réinvestit tous ses bénéfices dans le matériel et le bien-être de ses employés et clients. Elle favorise le commerce local. Elle se veut avant tout un lieu d’échange et de partage, qui permet aux touristes et aux habitants de la région de Romainmôtier de se rencontrer autour d’une bière. La Brasse-Mortier organise des concerts à l’ambiance parfois décapante et plein d’autres événements qui créent du lien, juste pour le plaisir. Vous nous rejoignez?
900 litres de bière
Au printemps 2020, nous avons pu engager une nouvelle brasseuse. Et pas n’importe laquelle. Michela Dupuis a une quinzaine d’années d’expérience dans la production de bière. Elle a été brasseuse en chef et directrice de production dans différentes brasseries. En 2017, la brasserie pour laquelle elle travaillait alors a reçu une médaille d’or. Vos dons serviront à financer les trois prochains brassins concoctés par les doigts de fée de Michela. Parmi les contreparties, qui correspondent à nos prix usuels, vous aurez par exemple la possibilité de venir brasser une journée avec elle et de repartir avec une caisse de bières. Ou encore d’avoir un tabouret gravé à votre nom réservé au bar. La classe, non?