Parce que le bateau-lavoir, c'est bonnard!

Bravo pour votre engagement et votre travail. Geneve a besoin de lieu comme celui-là

Lieu socio-culturel trônant à Genève !
En cette fin d’année 2020, il m’a semblé intéressant de soutenir ce projet qui aident des jeunes ou moins à retrouver une certaine joie de «vivre» !
Bravo !

C’est une entreprise originale, solidaire, accueillante et j’aime y donner rendez-vous à mes amis. J’espère tant qu’elle pourra perdurer malgré tous les obstacles et en particulier la crise sanitaire !

J’y suis allée une fois avec l’envie d’y retourner car c’est un vrai lieu de convivialité et le projet social en vaut la peine.

De tout coeur avec vous!

Il meurt lentement celui qui ne va pas au Bateau-lavoir, pour paraphraser ce poème de Martha Medeiros, écrivaine brésilienne :

Il meurt lentement
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n’écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver
grâce à ses yeux.Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.

Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l’habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnuIl meurt lentement
celui qui évite la passion
et son tourbillon d’émotions
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les coeurs blessés

Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu’il est malheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n’a fui les conseils sensés.

Vis maintenant!
Risque-toi aujourd’hui!
Agis tout de suite!
Ne te laisse pas mourir lentement!
Ne te prive pas d’être heureux!

Martha Medeiros

Longue vie au Bateau Lavoir